Une initiative sympa…

La police de Namur mène campagne pour le port de la ceinture de sécurité

Les enfant de 5e et 6e primaires de l’école communale de Bouge ont reçu une initiation en classe, puis ont distribué eux-mêmes des PV (factices) aux personnes en infraction

La police de Namur mène, dans les écoles et sur les routes, une campagne de sensibilisation au port de la ceinture de sécurité, qui s’inscrit dans le cadre de la campagne nationale de l’IBSR (Institut belge pour la sécurité routière) « La ceinture à l’arrière sauve aussi des vies à l’avant ».

Les policiers namurois étaient ainsi lundi matin à l’école communale du Moulin à vent, à Bouge. Les enfants de 5ème et 6ème primaires ont reçu une initiation en classe, puis ont distribué eux-mêmes des PV (factices) aux personnes en infraction.

« Sensibiliser au port de la ceinture de sécurité reste primordial: sur cinquante voitures stoppées ce matin, une quinzaine de personnes ne portaient pas la ceinture », observe Laurence Mossiat, responsable de la communication de la police de Namur.

Ceux qui portaient leur ceinture ont reçu des petits cadeaux, des porte-clés de la campagne IBSR pour les parents et des gadgets en forme de nounours que l’on attache à sa ceinture pour les enfants. La même action sera menée dans d’autres écoles tout au long de l’année par le service « piste circulation » de la police de Namur, service spécialisé dans la sensibilisation au code de la route.

Sur les routes, la police de Namur sera également plus dissuasive. Les actions se solderont, pour les personnes en infraction, soit par une perception immédiate de 50 euros, soit par une escorte policière jusqu’au commissariat d’Hastedon pour aller essayer la ceinture de sécurité dans une voiture tonneau.

(source : RTL info)

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Une initiative très sympa…  et les enfants ne l’oublieront sûrement pas.    A refaire partout ailleurs en Belgique…

Scandaleux : Tirer sur un policier n’aggrave pas la peine

Tirer sur un policier n’aggrave pas la peine

(La Dernière Heure/Les Sports, 05/12/2007)

Les derniers tueurs de flics jugés en Belgique ont pris 25, 20 et 15 ans

BRUXELLES Il y a deux ans, en octobre 2005, les meurtriers d’un policier des autoroutes abattu quatre ans plus tôt n’étaient pas jugés et n’ont pas été condamnés pour assassinat ni même pour meurtre, mais pour… coups et blessures ayant entraîné la mort… sans intention de la donner.

Les tirs étaient partis en direction du gendarme Marc Munten d’une telle distance et dans de telles conditions que les suspects, Abderrahmane Ben Masaoud (25 ans de réclusion), Mohamed Hammani (20 ans) et Rachid El Ouakili (15 ans), avaient pu prétendre qu’ils n’avaient pas voulu le tuer. À 42 ans, marié et père d’un enfant, Marc Munten avait reçu une balle en pleine tête, et avait eu droit, pour services rendus, à la croix civique de 1re classe.
Révoltés que l’intention d’homicide n’ait même pas été retenue, ses collègues avaient manifesté en nombre devant le Palais de justice. Pendant huit jours, des députés avaient parlé d’introduire comme circonstance aggravante, et comme en Grande-Bretagne, le fait d’ouvrir le feu sur des policiers en service. On en avait effectivement parlé pendant huit jours.

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Qu’en pensez-vous ?