Belges : tous suspects !

La loi Moureau fait de tous ceux qui osent encore penser (tout haut) des coupables en puissance…

Mieux vaut en rire… Pauvre Belgique !

Attention! Police Question: Comment fait-on pour voir la différence entre un policier Belge, un policier Américain et un policier Australien?Mise en situation:Vous marchez dans une rue déserte avec votre femme et vos deux enfants. Soudain, un type dangereux arrive devant vous avec un énorme couteau et vous regarde droit dans les yeux en criant des obscénités. Il lève le couteau et charge sur vous. Vous avez votre arme de service 9 mm sur vous et vous êtes un expert dans le tir de précision. Vous n’avez que quelques secondes pour réagir avant qu’il ne vous atteigne vous et votre famille.Que faites-vous? 1. LE POLICIER BELGE (analyse de l’information) « Est-ce que son couteau est un Kirpan traditionnel ? Préfère-t-il parler en français ou en flamand? Est-ce que cela va avoir un impact sur mes chances d’une promotion? Est-ce que les médias vont faire un profil de sa vie pour dire qu’il était aimé de tout le monde, même par son chien? Est-il un membre d’un gang de rue qui est incompris par la société? Malgré l’urgence, dois-je faire  les injonctions d’usage ? Un avocat  me sera-t-il obligatoire ? Est-il un nouvel immigrant au pays et s’il ne sait pas comment approcher la police? Est-il un nouvel individu en probation qui a été mal réintégré dans la société ? Est-ce que cela va être vu comme du profilage racial et vais-je en perdre mon emploi ? Est-il une victime du syndrôme alcoolo-foetal  ou de  la drogue et peut-êtrte qu’il ne comprend pas ce qu’il fait à cause de cela ? Donc je vais le prévenir gentiment de déposer son arme alors qu’il m’approche… 2. LE POLICIER AUSTRALIEN : BANG 3. LE POLICIER AMERICAIN : BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG BANG  click… (Reload)…  BANG BANG BANG BANG BANG BANG click click click click Chez nous, on n’est pas si loin de  la vérité, non ??

Qu’en pesnez-vous ?   Réagissez !

Les hauts faits d’un demandeur d’asile… Une histoire de fous !

Un demandeur d’asile s’en prend au personnel de la Commune de Saint-Gilles 

Trois employés communaux ont été blessés vendredi par un demandeur d’asile à l’administration de Saint-Gilles, a-t-on appris ce lundi au parquet de Bruxelles. L’auteur des faits a été informé vendredi que sa demande de régularisation avait été jugée irrecevable. L’homme, d’origine africaine, s’est vu délivrer un ordre de quitter le territoire et s’en est pris à des membres du personnel de la commune. James, âgé de 34 ans, a refusé de signer les documents qui lui étaient présentés et a lancé au visage d’un employé une tour d’ordinateur et le combiné d’un téléphone avant de le frapper à plusieurs reprises. L’homme violent a jeté un écran d’ordinateur en direction de la tête d’une employée. L’écran s’est écrasé sur le mur. L’employée a reçu un coup de poing au visage. Un troisième employé s’est blessé à la main en maîtrisant le forcené.

Un employé a plusieurs dents cassées et subira une incapacité de travail de plusieurs jours au minimum. Un autre a la main cassée et subira une incapacité de travail de plusieurs semaines. Une troisième victime a été blessée au visage et a une entorse à la main. Elle est en incapacité de travail pour quatre jours. Cette incapacité devrait être prolongée. Une employée, était en état de choc mais n’a pas été blessée physiquement. Elle sera en incapacité de travail pour plusieurs jours également.

Le demandeur d’asile débouté a accepté d’indemniser les victimes et de répondre aux convocations de la police ou du parquet. Il a accepté une médiation pénale et n’a pas été mis à disposition du parquet de Bruxelles. L’Office des Etrangers lui a demandé de signer son ordre de quitter le territoire. (belga/7sur7)

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Scandaleux, non ?

Qui a dit : « Des papiers pour les Sans-Papiers ? »

Peut-être, mais alors des rouleaux d’essuie-tout (du sopalin pour nos amis d’Outre-Quiévrain) pour effacer toutes les taches de sang des délits et des agressions qu’ils commettent !

Contre des femmes en plus !

Pour info : ces pauvres victimes ont demandé à pouvoir faire grève pour marquer le coup (c’est le cas de le dire !).  Il leur a été répondu que c’était politiquement incorrect !   Et se faire tabasser, c’est correct ? 

Encore du deux poids-deux mesures, selon que vous serez Belges ou pas ??? 

Marre de subir la lâcheté des incompétents qui devraient faire respecter la loi !  Pas vous ?

La police a peur…

(> La Dernière Heure le 30/01/2008)

Selon le SLFP Police, il y a des zones de non-droit et elles se multiplieront si un nombre suffisant de renforts n’est pas engagé

BRUXELLES

Le Syndicat libre de la fonction publique, section police (SLFP) tire la sonnette d’alarme. Son vice-président national, Alain Ysebaert, ne mâche pas ses mots : « Oui, il y a des zones de non-droit, osons dire les choses. Le sentiment d’insécurité ne fait qu’augmenter chez les policiers et il s’accentuera s’ils n’obtiennent pas de renfort. Mettez-vous à la place de deux policiers en patrouille qui savent pertinemment qu’ils n’auront pas d’appui s’ils se rendent dans un quartier à risque alors qu’ils sont également attendus ailleurs. Sachant qu’il y a un manque d’effectif important et qu’ils ne seront pas aidés par des collègues, quel choix feront-ils, pensez-vous? », interroge le vice-président SLFP Police apportant lui-même la réponse : « Il y aura de plus de plus en plus de zones de non-droit. Les malfrats sont conscients que la police n’arrivera pas rapidement si les effectifs ne sont pas revus. Si l’on veut éviter à court terme une catastrophe au niveau opérationnel, il faut impérativement augmenter le recrutement d’inspecteurs par la voie externe. Il faudrait 1.450 full time équivalent par an jusqu’en 2011, au minimum et non pas 1.350 comme le prévoit le plan de sécurité 2008-2011. 100 effectifs en plus, cela représente six à sept patrouilles supplémentaires sur le terrain », précise Alain Ysebaert.

Et d’insister sur l’importance de « tenir ces engagements. Le gouverment sortant s’était engagé à recruter 1.200 unités pour les années 2005 et 2006 . Il a ramené ce chiffre à 900 par manque de moyens budgétaires sans en avertir les principaux concernés et la population. Et le nouveau plan de sécurité, ce sera encore du bluff politique ou une réelle motivation du politique d’honorer leurs engagements ? », s’interroge encore le syndicat libre.

Nous avons posé cette question hier au cabinet du ministre de l’Intérieur Patrick Dewael qui assure que le recrutement de policiers est l’une des priorités majeures et que le ministre fera en sorte que les moyens budgétaires affectés par le fédéral suivent afin que ce recrutement puisse être effectif le plus rapidement possible, le nombre de candidatures à la police ne cessant d’augmenter.

Scandaleux : Tirer sur un policier n’aggrave pas la peine

Tirer sur un policier n’aggrave pas la peine

(La Dernière Heure/Les Sports, 05/12/2007)

Les derniers tueurs de flics jugés en Belgique ont pris 25, 20 et 15 ans

BRUXELLES Il y a deux ans, en octobre 2005, les meurtriers d’un policier des autoroutes abattu quatre ans plus tôt n’étaient pas jugés et n’ont pas été condamnés pour assassinat ni même pour meurtre, mais pour… coups et blessures ayant entraîné la mort… sans intention de la donner.

Les tirs étaient partis en direction du gendarme Marc Munten d’une telle distance et dans de telles conditions que les suspects, Abderrahmane Ben Masaoud (25 ans de réclusion), Mohamed Hammani (20 ans) et Rachid El Ouakili (15 ans), avaient pu prétendre qu’ils n’avaient pas voulu le tuer. À 42 ans, marié et père d’un enfant, Marc Munten avait reçu une balle en pleine tête, et avait eu droit, pour services rendus, à la croix civique de 1re classe.
Révoltés que l’intention d’homicide n’ait même pas été retenue, ses collègues avaient manifesté en nombre devant le Palais de justice. Pendant huit jours, des députés avaient parlé d’introduire comme circonstance aggravante, et comme en Grande-Bretagne, le fait d’ouvrir le feu sur des policiers en service. On en avait effectivement parlé pendant huit jours.

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Qu’en pensez-vous ?

La lutte contre la corruption… à la police

Un comité contre la corruption à la police 

Les 39.000 agents des polices fédérale et locales vont être dotés d’un comité national d’accompagnement qui doit permettre d’éviter des scandales de corruption. C’est ce qu’annonce vendredi Fernand Koekelberg, le nouveau commissaire général de la police fédérale dans une interview publiée par De Tijd.

Quelques mois à peine après l’entrée en fonction de Fernand Koekelberg (52 ans) en février dernier, un scandale avait été découvert au service d’achat de la police fédérale. Le responsable de la police fédérale veut à présent prendre le problème à la racine. « Nous avons mis sur pied un comité d’accompagnement avec des représentants de la police locale et de toutes les directions générales », a-t-il déclaré au journal De Tijd. « Il s’agit d’un organe d’avis pour les policiers à qui sont adressées des propositions douteuses ». M. Koekelberg veut aussi embaucher plus de personnel spécialisé, comme des experts comptables, ou du personnel pour des missions à caractère scientifique. Il a l’intention de recruter aussi du personnel civil pour ces fonctions. (TAS)

Source : 30.11.2007 09:47 trouvé sur www.msn.com

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Idée : il peut recruter Van Cau et toute sa bande…   Ils ont l’expérience…  

Et l’énorme joyeuseté, je cite : « permettre d’éviter des scandales de corruption« …   Ce qui signifie en bon français : la corruption, il est toujours pour, mais il ne faut plus que ça se sache !!!     

Les Français ne doivent plus inventer de blagues belges, ils n’ont plus qu’à piocher dans l’actu.   

Comme nos dirigeants peuvent être C… !   Et pas que les politiques apparemment ! Chez nous aussi !

Et puis, tout compte fait (c’est le cas de le dire !), la corruption, il y en a bien plus ailleurs : à Liège, à Mons, à Charleroi, ce n’est pas vraiment dans la police qu’il y a le plus de problèmes…  Non, le milieu le plus pourri en Wallonie et à Bruxelles, c’est au PS (et dans tous les endroits où il a placé ses apprentis mafieux !)…